Sponsorisés par Wetlands International Afrique dans le cadre de son projet sur les moyens de subsistance durables et la biodiversité (SLBP) à Port Harcourt, Nigéria, trois (3) étudiants, ont quitté le lundi 03 Aout 2015 pour une session de formation d’un mois au Centre d’Etudes avancées sur les Politiques et Lois Environnementales (CASELAP), de l’Université de Nairobi, Kenya. La formation va porter sur l’évaluation économique des écosystèmes et de la biodiversité.
Harry Ayebapreye Gijo, maître de conférence à l’Université du Delta du Niger, dans l’Ile de Wilberforce dans l’Etat de Bayelsa, Dennis .E . Arhawarien, étudiant à l’University, de l’Etat du Delta à Abraka and Divine Chikezie Nnamdi, étudiant à l’Universite des Sciences et Technologies de l’Etat du fleuve, à Port Harcourt, sont les bénéficiaires des 3 bourses d’études offertes par Wetlands International Afrique. Ils sont sponsorisés par le projet sur les moyens de subsistence durables et la biodiversité (SLBP), une initiative de Shell International/Wetlands International, le Partenariat pour la conservation des zones humides dans le Delta du Niger au Nigéria. Ils ont quitté Port Harcourt le lundi 03 Août, 2015 pour Nairobi, Kenya, ou ils seront formés sur l’évaluation économique des écosystèmes et de la biodiversité durant l’Université d’été.
Lors d’une réunion avec les bénéficiaires le samedi 1er Aout 2015, avant leur départ, le Chef du bureau de projet de Wetlands International a Port Harcourt, Michael Uwagbae, a mis l’accent sur l’importance du programme de formation avant de conseiller les étudiants en ces termes “Au Kenya , vous êtes les ambassadeurs de Wetlands International Afrique et aussi du Nigeria. Vous partez pour une session de formation, donnez le meilleur de vous-mêmes. Travaillez en équipe. Lorsque vous serez de retour au pays, vous nous présenterez un rapport collectif et chacun de vous présentera ensuite un rapport individuel a vos universités respectives” a-t-il affirme.
Au nom du groupe, le leader de l’équipe, M. Harry Ayebapreye Gijo, a déclaré qu’ils sont privilégiés d’avoir cette opportunité d’être formés a Nairobi, Kenya sur l’évaluation économique environnementale avant d’ajouter que “Cette formation va renforcer nos capacités et nous permettre d’être des biologistes environnementaux compétents. En outre, cette formation va nous permettre d’avoir des connaissances sur l’économie environnementale et va avoir un impact positif sur les conditions d’existence des Nigérians”. Les récipiendaires ont par la suite été briefés par le chef du projet sur les mesures de précaution sécuritaires, les lignes directrices et attentes par rapport a la formation.